30 mai 2016

Jeunes plantes et limaces

Les limaces attaquent les buttes. les fèves d'abord, ensuite les jeunes plants de salade, humm !!! Première réaction: les chasser, sans les tuer tout de même. 2ème réaction: trouver des répulsifs. Les coquilles d'oeufs ne fonctionnent pas chez moi. La cendre, j'ai essayé, dans succès.. La bière marche à merveille, mais trop bien. Le hic: cela me fait devenir un assassin à limaces et destructeur de l'écosystème. Ce n'est pas cohérent, bienveillant envers la biodiversité. "Si nous sommes obligé d'assassiner des choses pour vivre... C'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas ! " - Hervé Coves

et il a raison. L'article http://permaforet.blogspot.fr/2014/07/limaces-et-autres-gasteropodes-amis-du.html très enrichissant montre que la limace fait partie et joue un rôle très important dans l'écosystème. On y lit que les limaces ne dévorent pas en priorité les laitues et que si elles le font c'est que le jardin est en déséquilibre (limace = excellent bio Indicateur). En priorité, les limaces se nourrissent de copeaux de bois, de branches pourvues de lichens, des restes de champignons. Si les limaces attaquent nos limaces, c'est que le sol manque d'organismes en décomposition, de champignons, de faune sauvage...

Une Solution  nourrir les limaces, déjà, en 1, je cueille des feuilles de pissenlits il y en a plein mon jardin et je les étale à coté de mes jeunes plants, ça marche bien. Plus généralement je peux composter en surface. 2. je protège mes plants avec des tronçons de bouteille en plastique, surtout les jeunes plants qui subissent un stress lors du repiquage et qui deviennent une proie facile (stress abiotique). 3.je vais en place mettre en place des mycocompost reliés à la terre, je vais prendre un pot de terre percé dans lequel je vais jeter des champignons, ce sera un refuge à limace, un composteur à champignons et un diffuseur de spores vers l'intérieur de ma butte. En 4 je mettrai de la bière si vraiment je suis envahi, et que les méthodes 1,2,3 ne suffisent plus, mais uniquement dans ce cas pour préserver la biodiversité du site.

1 mai 2016

Voile habitable et bien être

Petite étude sur le mal de mer et tests à effectuer en mer. 

Le mal des transports, aussi appelé cinétose ou naupathie est un trouble qui se produit dans des situations où la perception visuelle et le système vestibulaire sont divergentes, en gros, ce que voit l’oeil et ce que perçoit l’oreille interne ne coïncident pas. Environ 1/3 des patients sont susceptibles de ressentir des effets du mal de mer dans de légères circonstances comme sur un bateau naviguant dans des eaux calmes, bien que 2/3 seraient susceptible de ressentir ses effets dans des circonstances sévères. Les individus et animaux sans système vestibulaire fonctionnel ne sont pas exposés à la cinétose. (source wikipédia). 

L'étourdissement, la fatigue et les nausées sont les symptômes les plus fréquents de la cinétose. Le syndrome de Sopite, dans lequel l'individu ressent de la fatigue, est également associé à la cinétose. Nausée en grec signifie « mal de mer » (naus signifiant bateau). Si les causes de la nausée ne sont pas résolues, le patient vomira fréquemment, se retiendra ou sera mal à l’aise (il ne sera pas gros gars !). Contrairement ce qui est indiqué sur wikipedia, j’ai remarqué que le vomissement durant la cinétose soulage légèrement la nausée. Le mal de mer est une forme de cinétose caractérisée par une sensation de nausée, et dans des cas extrêmes, de vertiges lorsque l'on passe du temps sur une embarcation en mer. C'est essentiellement la même chose que le mal de voiture, même si les mouvements d'une embarcation maritime tendent à être plus constants. Il est typiquement causé par le mouvement de balancement de l'embarcation, surtout par vent arrière à cause du roulis. Comme lors de mal de l'air, il peut être difficile de détecter visuellement le mouvement même lorsque l'on regarde en dehors du bateau puisque l'eau n'offre pas de points fixes avec lesquels juger visuellement le mouvement. Il faut fixer dans ce cas un point imaginaire. Des conditions de visibilité détériorées, comme du brouillard peuvent rendre le mal de mer plus fréquent. 

  Mais le mal de mer est aussi causé par le froid, la fatigue, la faim. Il faut macher, grignoter en mer (mâcher longuement ou grignoter du pain sec, c’est très efficace par petites bouchées). Il ne faut pas avoir froid, avoir pls couches et savoir se couvrir au fur à mesure que les températures descendent. La température ressentie n’est pas celle affichée à l’abri par le thermomètre, surtout au près. Il faut aussi boire par petites gorgée sous peine, surtout après avoir vomi.
 Si la position dans le cockpit n’est plus tenable à cause du froid, il faut surtout prendre son courage à deux mains pour rejoindre la cabine, se sécher, mettre des vêtements secs et s’allonger les yeux fermés dans un duvet. C’est certain que ça ira beaucoup mieux après c’est un investissement important. Rester dans le cockpit immobile dans le froid = céder au mal de mer = risque d’hypothermie en plus du mal de mer.

A creuser, à tester en live: l’aromathérapie:

 Plusieurs sources indiquent que la menthe poivrée possède des propriétés purifiantes, antispamodiques et surtout tonifiantes et stimulantes qui aident grandement à lutter contre la nausée grâce au menthol et au menthone contenus dans la menthe poivrée. Apparemment le menthol permet de lutter contre le mal être, et le menthone agit contre les nausées et vomissements.
 Aussi La racine de gingembre serait anti-vomitive. Sucer des cristaux de gingembre ou siroter du thé au gingembre peut aider à soulager la nausée.

 Cocktail n°1 à confectionner:


  • HE de Menthe Poivrée 40 gouttes
  • HE de Cardamome  20 gouttes
  • HE de Petit Grain Bigarade 20 gouttes
 à absorber par voir orale

Source: https://www.compagnie-des-sens.fr/menthe-poivree-mal-transport-adulte/

Cocktail n° 2 à confectionner


  • HE Citrus limonum (z)   2ml
  • HE Mentha piperita    2ml
  • HE Ocimum basilicum ssp basilicum 2ml
  • Huile Végétale de noisette   quantité suffisante pour  50ml 
  • 6 gouttes en massage sur le plexus solaire, 3 fois/jour. 
    
Source 
http://www.formationaromatherapie.com/e-learning/9-les-huiles-essentielles-classees-par-leurs-proprietes-principales.pdf
cf chapitre mal des transports

SURTOUT ces cocktails sont contre indiqués aux femmes enceintes et enfants de moins de 7 ans.

Autre méthode d'absorption plus simple. Prenez de l’huile essentielle de menthe poivrée (une goutte sous la langue à laisser fondre). Vous pouvez aussi respirer cette huile si le goût est trop fort pour vous ou si vous êtes enceinte. Pour les enfants, on respire de l’alcool de menthe (une cuillerée dans un petit verre d’eau, ou sur une compresse).


Source:http://www.lessentieldejulien.com/2011/07/aromatherapie-lutter-contre-le-mal-des-transports/

La veille du départ, prendre 2 gouttes d'huiles essentielles (HE) de menthe poivrée, de basilic exotique, de camomille noble dans une cuillère de miel ou sur une boulette de pain.
Une heure avant, poser 1 goutte d'huile essentielle (HE) de gingembre sur un support au choix (cuillerée de miel, comprimé neutre, boulette de pain) puis  2 à 3 fois durant le voyage. On peut aussi lui associer 1 goutte d'HE de citron.
Pour un enfant (à partir de 3 ans), mettre 1 goutte d'HE de gingembre sur une petite cuillère de miel. S'il n'aime pas le goût, versez 2 gouttes d'HE de gingembre dans une demi-cuillère d'huile végétale d'amande douce et massez-le au niveau des tempes, du plexus solaire et sur la face interne des poignets. Déconseillé aux femmes enceintes ou qui allaitent.

Un produit prêt à l'emploi
Mal des transports, Puressentiel (9 €). Ce roller associe des huiles essentielles stimulantes : menthe poivrée, gingembre, citron, mandarine, marjolaine, lavande vraie, basilic exotique.

Source:http://www.topsante.com/medecine/sante-et-voyage/mal-des-transports/prevenir/mal-des-transports-5-solutions-douces-pour-l-eviter-61067